Quelques nouvelles


Denoël a refusé Masha, la sans-utérus, mon deuxième roman. Pascal Godbillon, l’éditeur, l’a trouvé très bon, meilleur que Pornarina, plus mature et structuré. Cependant la direction n’a pas souhaité suivre. Entre autres, réduction drastique du nombre de titres annuels. Je recherche donc un éditeur en ces temps infectieux.

Au-delà je termine une traduction (The Art of Asking d’Amanda Palmer), après quoi je vais mettre de côté mon projet de livre sur Jack l’Éventreur et me lancer dans un autre projet, qui me tient à cœur depuis longtemps, un roman jeunesse, d’inspiration purement burtonienne, respiration nécessaire après toutes les entrailles agglutinées dans Masha, la sans-utérus.

J’ai eu peu de retours sur “L’Effroyable Affaire des souffreuses”, mon dernier texte paru dans l’anthologie Les Affaires du club de la rue de Rome (La Volte, 2020). Les principaux sont encore sur Babelio. Pour ceux qui ont aimé Pornarina et souhaiteraient découvrir mon travail plus en profondeur, n’hésitez pas à y jeter un œil, vous y retrouverez l’éventail de mes thèmes et mon rapport à la langue que j’espère toujours aussi disturbant.

Enfin on me trouvera un peu plus actif sur Instagram jusqu’à la fin de l’année, histoire de voir ce que ça donne et désirant limiter Facebook au minimum vital.

Bien pornarinologiquement,

30 juin 2020,
R.E.

1 commentaire:

  1. Masha est victime du principe de rentabilité de nos sociétés modernes ! Mais elle finira bien par trouver son sauveur!

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