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Ai dévoré L’Apparence du vivant de Charlotte Bourlard. Prix Sade 2022. Une réincarnation de Gabrielle Wittkop en moins guindé. On pense aussi à Rachilde et à ses histoires d’amour étrange pour le moins. Ou à Un chœur d’enfants maudits de feu Tom Piccirilli, pour des raisons moins claires. Peut-être la langue, des phrases courtes, les décors intérieurs. De ce roman élégant de C. Bourlard, je ne retiens pas tant les passages sanglants, anatomiques ou sexuels, que le quotidien touchant du funérarium, les thés, les livres, la musique, l'habillage, les cercueils.

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